Steven McKinnon
Pleins feux
PEGGY FEEHAN
Philanthropie
Katerina Olkinitskaya
Université
à fond sur l'IA
Liaisons
Numéro 9
Cap sur
la stratégie
Allumez évolue avec notre université
Depuis plusieurs années, le magazine Allumez raconte les histoires qui nous rassemblent : celles des personnes diplômées, des membres de notre personnel, de nos personnes étudiantes et de nos partenaires. À l’image de l’Université de Moncton elle-même, le magazine évolue.
Dès septembre 2025, Allumez adoptera un nouveau format, plus actuel, plus fréquent quatre publications par année et encore plus connecté à ce qui anime notre réseau universitaire.
Pensé comme le magazine de toute la communauté, il donnera à voir les projets, les idées, les visages et les initiatives qui façonnent nos campus.
Chaque édition mettra en lumière l’avancement des chantiers stratégiques du plan Cap sur l’Avenir, dans une approche ancrée dans l’action, la collaboration et le rayonnement.
Les personnes diplômées continueront d’y jouer un rôle important, non pas en marge, mais au cœur des histoires partagées. Car ce magazine est, plus que jamais, le reflet d’une université qui se transforme avec sa communauté.
Surveillez le lancement du nouveau format à l’automne 2025.
Paul Ward
Directeur des communications
Perspectives actuelles
Pour le moment, Peggy Feehan s’attelle à sa tâche quotidienne de renforcement des intérêts francophones, se réjouissant des appuis essentiels qui viennent assurer le développement de projets et de partenariats menés par le CODOFIL.
Enchainant demandes, dossiers et planification les occasions de s’arrêter pour admirer les fruits de ses efforts sont rares, mais la flamme ne vacille pas puisqu’elle croit fermement dans la cause qu’elle appuie. Et les résultats sont tangibles.
« L’Université de Moncton est vraiment restée tatouée sur mon cœur qui sera toujours habité par la fierté Bleu et Or grâce à la grande convivialité dans laquelle on m’y a accueillie. »
Peggy Feehan profite pleinement de sa vie louisianaise, de la chaleur du climat… et de celle des gens. Avec autant de festivals que de jours au calendrier, il y a toujours une raison en Louisiane de se rassembler et de célébrer la culture cadienne. Lorsque le temps s’y prête, elle est souvent de la partie, accompagnée de ses enfants qui se nourrissent de ces expériences enrichissantes. C’est aussi cela qui assure la vitalité de cette communauté francophone singulière. .
Moncton et les études
C’est avec un sourire aux lèvres que Peggy Feehan revient sur son séjour à l’Université de Moncton, dont les agréables souvenirs ne se sont pas trop effrités avec le temps. Logée en résidence, elle a eu l’occasion de tisser des liens durables avec des collègues de classe en navigant les facultés, de Rémi-Rossignol à Léopold-Taillon en passant par Jeanne-de-Valois. Synonyme de partage, de découverte et de socialisation, le campus était pour Peggy Feehan un lieu stimulant où elle aimait passer du temps et profiter d’une vie étudiante foisonnante, portée entre autres par le mythique bar étudiant le Kacho.
Elle souligne avec grande fierté avoir reçu une formation de qualité qui lui a permis de s’outiller adéquatement en vue de son arrivée sur le marché du travail.
C’est sans la moindre hésitation que Peggy Feehan affirme que si le choix était à refaire, elle passerait par l’Université de Moncton pour revivre son parcours étudiant. D’ailleurs, cette relation de confiance pourrait être en voie de se perpétuer très concrètement dans quelques années alors qu’une décision quant à l’éducation postsecondaire de sa fille s’imposera.
Peggy Feehan est une véritable figure de leadership pour une Acadie qui depuis son fracas en 1755 a réussi à fleurir en terre inhospitalière contre vents et marées. C’est en plein cœur de la Louisiane, à Lafayette, que cette fière diplômée a élu domicile en 1999 ajoutant sa voix à celle des quelque 200 000 locutrices et locuteurs qui constituaient à l’époque le bastion francophone de cet état américain.
Récemment nommée à l’Ordre des Palmes académiques de la République française, son apport « à l’expansion de la culture française dans le monde » a été reconnu par la France.
Portrait d’une ambassadrice qui brandit le flambeau de la francophonie à 3 400 kilomètres de son village natal.
Originaire de Kedgwick, Peggy Feehan a amorcé ses études au campus d’Edmundston, qu’elle a complété au campus de Moncton. Avec en poche un baccalauréat ès sciences et un baccalauréat en éducation, elle intégrera aussitôt le marché du travail en tant qu’enseignante de sciences au sein du district 3, aujourd’hui connu sous le nom de district scolaire francophone du Nord-Ouest.
Direction la Louisiane
Quelques années plus tard, à l’aube de ses 30 ans, une idée qui germait dans son esprit depuis quelque temps se concrétise : lever l’ancre et mettre le cap sur « l’Acadie des Tropiques ». À certains égards, il s’agissait pour Peggy Feehan d’un concours de circonstances à l’époque, avec notamment la présence d’une amie qui en était à la fin de son séjour en sol louisianais.
Un quart de siècle plus tard, le plan initial qui ressemblait à un passage éphémère d’environ une année est loin derrière. La Louisiane a donné à Peggy Feehan une carrière prolifique, un mari et deux enfants et Peggy Feehan a donné à la Louisiane son cœur débordant de fierté francophone.
Il faut dire aussi qu’en tant que francophone néo-brunswickoise, les défis inhérents à la vie en situation de minorité linguistique ne lui étaient guère étrangers. De ce fait, il y avait une certaine aisance dans son intégration à ce nouvel environnement, auquel Peggy Feehan a greffé ses valeurs, tout en se découvrant une nouvelle vocation : une carrière vouée non seulement à l’enseignement, mais à la promotion du français.
C’est ce qui la poussera à abandonner les salles de classe pour rejoindre le CODOFIL (Council for the Development of French in Louisiana), où son rôle lui permettra d’exercer une influence plus globale sur l’épanouissement de la francophonie. Elle est à la tête de cette agence depuis 2018.
« Aujourd’hui, même si le combat n’est jamais gagné, le déclin de la francophonie en Louisiane a été largement freiné et la langue a été revalorisée aux yeux de la génération émergente qui n’a pas honte d’afficher ses couleurs. C’est déjà une belle victoire. »
« Je suis très reconnaissante et je vois ce prix comme une reconnaissance collective. Je n'aurais rien accompli sans mes professeures et professeurs, mes collègues, ma communauté. C'est un honneur de porter un peu plus loin les valeurs qui nous animent, » a expliqué Katerina.
Le 11 juin, la Fondation Sheila-Hugh Mackay a été investie de l’Ordre de la Chancelière en guise de reconnaissance pour sa générosité remarquable envers l’Université de Moncton au fil des ans.
En célébrant à la fois l'héritage d'une grande figure, l'engagement d'une jeune artiste et la vision partagée d'une institution et d'une fondation, ce nouveau prix tisse un lien essentiel entre la création, l'éducation et la philanthropie. Une véritable étincelle dans la mission de l'Université de Moncton : allumer des rêves, nourrir des talents, façonner l'avenir.
Un nouveau prix vient enrichir le paysage philanthropique et culturel de l'Université de Moncton. Le Prix de mérite culturel de la Fondation Sheila Hugh Mackay est désormais décerné annuellement à une étudiante ou un étudiant qui incarne le rôle de passeuse ou passeur culturel et qui a fait preuve d'un leadership remarquable dans le domaine des arts visuels.
Il vise à souligner la contribution exceptionnelle d'une personne étudiante à la création, la programmation, la curation, le discours critique, l'exposition, la performance, l'appréciation de l'art, le bénévolat, le mentorat ou encore la promotion culturelle.
Le prix, assorti d’une bourse de 2000 $, a été créé grâce à un généreux don de la Fondation Sheila Hugh Mackay dont la mission consiste à promouvoir et appuyer la création, la mise en valeur et la compréhension des arts visuels au moyen de prix, de projets éducatifs, de programmes de subventions et d’activités de défense des intérêts artistiques.
L'Université de Moncton, par la voix de son recteur, Dr Denis Prud’homme, a exprimé sa gratitude à la Fondation pour cette initiative, qui s'harmonise avec sa mission de former des êtres engagés, créatifs et ouverts sur le monde.
« Ce prix est une invitation à célébrer celles et ceux qui font vivre la culture dans leur quotidien et qui influencent positivement leur milieu », explique Dan Steeves, président de la Fondation Sheila Hugh Mackay.
La première remise du prix a eu lieu au printemps 2025, lors d’une cérémonie à la Faculté des arts et des sciences sociales. Pour inaugurer ce prix, le choix du jury s'est arrêté sur Katerina Olkinitskaya, étudiante finissante au baccalauréat en arts visuels. La lauréate s’est démarquée par sa capacité à concilier excellence académique, pratique artistique et engagement au sein de la communauté. Tout au long de ses années d’études, elle a pris part à plusieurs initiatives culturelles et artistiques. Elle a notamment été médiatrice à la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen où elle a dirigé des visites guidées et animé des activités artistiques.
Présidente du conseil étudiant du Département des arts visuels au cours de la dernière année universitaire, elle a été responsable des communications au sein du conseil pendant deux ans, en plus de siéger au comité de la Caravane des arts. Elle a participé à des expositions collectives et l’Aéroport international Roméo-LeBlanc du Grand Moncton a fait appel à ses services pour réparer une murale et le Bureau de l’apprentissage expérientiel lui a commandé des œuvres en guise de cadeau pour son Gala de reconnaissance expérientielle. Ses œuvres ont été publiées dans la revue de création littéraire Ancrages.
Cette initiative philanthropique se veut un hommage tout particulier à la lieutenante-gouverneure du Nouveau-Brunswick, Louise Imbeault, ancienne chancelière de l'Université de Moncton et figure incontournable du milieu culturel acadien et canadien.
Mme Imbeault a été à la présidence du conseil d’administration de la Fondation Sheila Hugh Mackay pendant huit ans.
Selon le rapport annuel de Research Infosource, l’Université de Moncton se classe parmi les 50 meilleures universités de recherche au pays; qui plus est, l’Université de Moncton occupe une place importante dans le classement des universités du pays en matière de recherches en intelligence artificielle (IA) et en robotique.
L’Université de Moncton est quatrième au Canada pour le pourcentage de ses publications en IA, positionnant l’établissement d’enseignement comme un acteur clé dans ce domaine stratégique à l’échelle nationale et deuxième au Canada pour le pourcentage de fonds de recherche consacrés à des projets avec des organismes à but non lucratif (OBNL), confirmant ainsi son ancrage communautaire et son engagement social.
De plus, gage d’un dynamisme certain dans le domaine des partenariats industriels, l’Université de Moncton a enregistré une hausse de près de 64 % des fonds consacrés à la recherche collaborative avec le secteur privé. En prime, les revenus de recherche de l’Université ont crû de près de 37 % depuis deux ans, ce qui constitue sans aucun doute un indicateur clair de la vitalité et de l’attractivité de son milieu de recherche.
« Ces résultats démontrent la capacité de notre université à se démarquer dans des secteurs émergents comme l’intelligence artificielle et la robotique, tout en étant davantage ancrée dans nos communautés, suivant la stratégie institutionnelle, Cap sur l’avenir », déclare Francis LeBlanc, vice-recteur adjoint à la recherche et doyen de Faculté des études supérieures et de la recherche de l’Université de Moncton.
Il ne fait aucun doute que l’Université de Moncton, forte de tous ces récents accomplissements, est un pilier de la recherche au Canada, enregistrant, en deux ans, une hausse de 35 % au niveau des inscriptions aux cycles supérieurs.
Rappelons justement que la vision de l’Université de Moncton indique que par son influence, elle veut être la référence en matière de transformation des sociétés dans une perspective d’inclusion, d’innovation et d’écoresponsabilité, tandis que la mission, de l’Université, en tant qu’Acadienne et de langue française, est de se consacrer à l’avancement des connaissances et à la formation de personnes créatives et engagées".
Contenu commandité
L’Université de Moncton, salue fièrement la nomination de l’honorable Steven MacKinnon au poste de leader du gouvernement à la Chambre des communes, annoncée lors de la journée d’assermentation du 14 mai dans le cadre de la formation du cabinet dirigé par le premier ministre du Canada, Marc Carney.
Diplômé en administration des affaires de l’Université de Moncton en 1988, M. MacKinnon reflète les valeurs de leadership, d’engagement et d’excellence qui animent la mission universitaire depuis plus de six décennies. Originaire de Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard, il a poursuivi ses études aux cycles supérieurs à l’Université Queen’s, où il a obtenu une maîtrise en administration des affaires en 1998.
La carrière de Steven MacKinnon illustre un parcours marqué par l’influence et le service public, tant sur la scène provinciale que nationale. Après avoir agi comme conseiller principal auprès du premier ministre Frank McKenna au Nouveau-Brunswick de 1988 à 1995, il a gravi les échelons du Parti libéral du Canada, jusqu’à devenir conseiller principal du premier ministre Paul Martin, de 2003 à 2006.
Élu député de Gatineau en 2015, il s’est vu confier de nombreuses responsabilités, notamment comme ministre, whip en chef, leader parlementaire et secrétaire parlementaire. Il a joué un rôle clé dans la gestion de dossiers névralgiques allant des relations de travail à la gestion des urgences, en passant par des réformes en santé, en éducation et en gouvernance démocratique.
Son passage dans le secteur privé entre 2007 et 2015, à titre de vice-président principal dans un cabinet-conseil en affaires publiques, a renforcé son profil en matière de stratégie et de gestion de crise.
La communauté universitaire de l’Université de Moncton est fière de voir l’un de ses diplômés accéder à l’une des fonctions parlementaires les plus importantes au pays, et lui souhaite beaucoup de succès dans ses nouvelles responsabilités.
DÉVOILEMENT | Le prix Émergence 2025 sera décerné à Dr Jean-Philip Deslauriers (DSS 2009) qui occupe le rôle de chef de rhumatologie du Réseau de santé Vitalité en plus de présider une coopérative médicale dans la région de Bathurst qu’il a lui-même fondé en 2018, se méritant d’ailleurs le titre de Jeune entrepreneur de l’année 2023, décerné par la Chambre de commerce Chaleur.
« Soucieux du bien-être de sa communauté et de l’accessibilité des soins en rhumatologie, le Dr Jean-Philip Deslauriers a su allier empathie et ambition afin de mettre sur pied des infrastructures qui acheminent de précieux services à la population, suscitant une immense fierté chez son alma mater », a indiqué le président de L’alUMni Eddie Rutanga.
DÉVOILEMENT | L’Ordre du mérite 2025 sera remis à Aldéa Landry (BA 1967), avocate et femme d’affaires ayant occupé plusieurs postes clés au sein du gouvernement, dont celui de vice-première ministre dans le cabinet de l’honorable Frank McKenna, faisant d’elle la toute première femme à se hisser à cet échelon. 🏆
« Fidèle à ses valeurs, elle a toujours choisi de mettre ses immenses talents au service de la communauté. Son leadership rassembleur, son implication bénévole soutenue, ainsi que son engagement indéfectible envers l’avancement des femmes font d’elle une ambassadrice d’exception pour notre alma mater. » a déclaré le président de L’alUMni, Eddie Rutanga.
Le bulletin Liaisons de la Faculté des arts et des sciences sociales a pour mission de faire rayonner notre Faculté, tant au cœur de l'Université de Moncton qu'au-delà de ses frontières.
Ce neuvième numéro vous propose des articles de fond qui illustrent parfaitement le dynamisme de nos différentes unités, enrichis de nos traditionnelles chroniques « Saviez-vous que? » et d'informations variées d'actualité. À travers ces pages, nous aspirons à révéler toute la diversité et la profondeur de nos disciplines, dont la portée n'est pas toujours pleinement reconnue, ainsi que leur contribution essentielle à la vie universitaire et au bien-être collectif.
Ce bulletin se veut ainsi le reflet authentique de notre Faculté, une véritable carte de visite qui témoigne de notre excellence et de notre engagement.
Bulletin de la Faculté des arts et des sciences sociales de l'Université de Moncton - Numéro 9
Stratégie Cap sur l’avenir 2023-2028 L’Université de Moncton avance activement sur ses projets phares L’Université de Moncton déploie plusieurs initiatives clés inscrites dans la stratégie Cap sur l’avenir 2023–2028, qui vise à renforcer l’enseignement, le milieu de vie, l’engagement communautaire et la transformation institutionnelle sur ses trois campus. Voici un tour d’horizon de projets en cours, soutenus par des annonces de financement récentes et des partenariats stratégiques.
Un nouveau centre d’excellence réseau en pédagogie verra le jour en octobre 2025
L’Université de Moncton s’apprête à lancer, en octobre prochain, le Centre d’excellence réseau en pédagogie universitaire et sur la créativité et l’engagement. Ce centre novateur remplacera le Centre d’animation et de soutien à l’enseignement (SASE) et deviendra une ressource stratégique pour les trois campus. Le centre aura pour mandat d’appuyer les membres du personnel enseignant de l’Université de Moncton dans l’amélioration continue de la formation, de l’enseignement et de l’encadrement aux trois cycles, contribuant ainsi à la réussite et à l’expérience étudiantes.
Il les soutient dans la mise en œuvre des meilleures pratiques en matière de pédagogie universitaire, favorisant ainsi le développement de la créativité et de l’engagement chez les personnes étudiantes. Il proposera des services de formation, d’accompagnement techno pédagogique et d’expérimentation académique.
Cette initiative s’inscrit dans le chantier « Enseignement et recherche-création » de la stratégie, qui vise à bonifier l’enseignement et l’avancement des connaissances par des programmes de formation et des activités de Recherche-Développement -Création qui permettent à nos personnes diplômées de se démarquer par la créativité et l’engagement.
Un incubateur social pour co-construire des solutions communautaires
Un projet pilote d’incubateur de résolution d’enjeux sociaux, en collaboration avec un incubateur communautaire local. Cette initiative permettra à des équipes composées de personnes étudiantes, de personnes professeures et de partenaires du terrain de se pencher ensemble sur des enjeux sociaux touchant la francophonie minoritaire.
L’objectif : concevoir et tester des solutions concrètes à des problématiques régionales par une approche de cocréation.
Le projet, qui se développe sous le chantier « Communautés » de la stratégie, vise à créer un pont durable entre l’Université et ses communautés au Nouveau-Brunswick.
Résidences étudiantes : un premier appui pour la planification
Le gouvernement du Nouveau-Brunswick a accordé 568 900 $ à l’Université de Moncton pour soutenir les études de faisabilité et la planification de nouvelles résidences étudiantes sur ses trois campus. Le financement permettra d’évaluer les besoins d’hébergement, de modéliser les options architecturales et d’établir les coûts de construction et d’exploitation. Ce projet vise à répondre à une pression croissante sur l’accès au logement étudiant, tout en soutenant l’attractivité des campus et la réussite académique. Il s’inscrit dans le chantier « Milieu de vie » de la stratégie Cap sur l’avenir, qui place le bien-être étudiant au cœur du développement universitaire.
5 millions de dollars pour relancer le CEPS Louis-J.-Robichaud
Un financement de 5 millions de dollars du gouvernement provincial pour amorcer la modernisation du gymnase du CEPS Louis-J.-Robichaud et mener une étude de classe C approfondie sur les besoins futurs du complexe. Cette étude vise à documenter avec rigueur les composantes du futur centre d’excellence sportif, de santé et de formation. Le projet complet, encore en conception, ambitionne de transformer le CEPS en une installation multifonctionnelle de nouvelle génération, à la hauteur des Jeux du Canada 2029 et des attentes de la communauté universitaire et régionale.
Ce que pourrait inclure le futur CEPS :
Ce projet incarne les ambitions de transformation physique et fonctionnelle portées par le chantier « Milieu de vie » de la stratégie institutionnelle.
Jean-Claude D'Amours, député, Gouvernement du Nouveau-Brunswick et Denis Prud'homme, Recteur et vice-chancelier de l'Université de Moncton.